Le congé de naissance discuté à l’Assemblée est profondément insuffisant : sa durée et sa rémunération restent limitées, et il ne résoudra ni les inégalités de genre ni le manque de modes d’accueil du jeune enfant !
Pour couronner le tout, le gouvernement voulait encore nous faire patienter jusqu’à… juillet 2027.
J’ai fait adopter un amendement pour qu’il entre en vigueur dès janvier 2026 et qu’il y ait au moins cette maigre réponse à la détresse des futurs parents.