Être chez Bolloré c’est assister à un ménage à chaque acquisition : émissions supprimées, ligne éditoriale imposée au service d’un intérêt économique et d’un combat civilisationnel.
Mais l’arbre Bolloré ne doit pas être l’arbre qui cache la forêt de ce système médiatique caractérisé par la mainmise d’une poignée de milliardaires sur l’information.
Chez Bouygues ou chez Saadé on utilise aussi son empire pour défendre des intérêts économiques et idéologiques.